L’accès à la propriété restera toujours dans les premiers objectifs des ménages. Au Canada, cette logique est respectée. De plus, on y retrouve la participation majeure des jeunes adultes. Toutefois, le problème habituel persistant dans le domaine de l’immobilier sera cet investissement de taille à préparer. Les observateurs classifient même de « parcours de combattant » le lancement d’un projet d’achat de propriété pour les primo-accédants. Certains d’entre eux se découragent, et les cas ne sont pas isolés apparemment. La situation est actuellement prise en main par le gouvernement canadien. Ce dernier tente de donner de l’élan aux potentiels acheteurs.
Les personnes de 25 à 30 ans pourront facilement devenir propriétaire au Canada !
Le gouvernement Trudeau n’a pour le moment pas dévoilé la formule qui soldera enfin le problème des jeunes adultes de la Génération Y face à l’incapacité financière dans le domaine de l’immobilier. Pourtant, quelques projets sont en étude et verront le jour très prochainement. Leurs doléances n’étaient pas comptées en lettre morte, d’autant plus que les experts immobiliers ainsi que les divers spécialistes universitaires ont appuyé le sujet. Ce qui est sûr, à travers ce projet d’aide, le budget aura une part conséquente sur l’amélioration de l’accès à la propriété. En effet, même si le cas des primo-accédants est un fait réel, le cas se généralise pour tous les ménages qui subissent un fort endettement, une posture identifiée comme principal blocage à l’initiative de se constituer un patrimoine immobilier. Mais un autre facteur vient aussi en cause de la difficulté de l’achat immobilier, c’est l’offre qui n’arrive pas à hauteur de la demande. Face à cet autre sujet, le gouvernement projette également de déployer des efforts sur ce flan du problème. Il faut juste retenir que l’étude est encore en cours, et qu’aucune communication officielle n’est à exploiter pour le moment.
Venir à bout du problème étape par étape
Ménages les plus modestes et jeunes adultes sont les principales victimes de l’incapacité à concrétiser un projet immobilier. C’est dans ce sens que le gouvernement canadien agit en ce moment en s’élançant en priorité sur l’allègement des dettes. Parmi les solutions les plus évidentes figurent les rachat de credit proprietaire. C’est en effet une alternative qui permettra de donner à ces catégories socioprofessionnelles d’améliorer leur situation d’endettement. Toutefois, des spécialistes se sont aussi penchés sur le sujet, à l’instar de Paul Kershaw, professeur de l’Université de la Colombie-Britannique. Il avance notamment des mises en garde sur cette mesure en affirmant « cette option peut aussi aggraver l’endettement des emprunteurs si ces derniers ne savent pas s’y prendre ». Il enchaine avec des propos visant le marché et l’économie du pays « Le gouvernement devra aussi s’appliquer à préserver la stabilité du marché, quelles que soient les mesures envisagées. Un marché déséquilibré ou fragile présente toujours un risque non négligeable pour l’économie du pays. ». Le dilemme pour le projet de facilitation de l’accès à la propriété sera pour résumer la recherche de la formule la plus juste pour toutes les parties concernées.
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